En me rappelant de la dangereuse scène de feu, après ma prière, mon cœur abasourdi s’était calmé et ne fut plus troublé. C’était Dieu qui l’avait calmé et m’avait redonné mes moyens. Personne ne s’était enfui, mais avait fait des efforts considérables pour éteindre le feu et, inopinément, l’asphalte qui brûlait dans le conduit ne s’était pas écoulé. Il s’est avéré que Dieu détient la souveraineté sur le changement du cœur de l’homme et de toutes choses par Ses pensées.