Je suis une enfant unique, qui a grandi avec l’amour tendre de mes parents, et surtout, j’ai vécu dans un environnement aisé. Depuis que je me suis mariée, mon mari et moi avions toujours vécu dans la maison de mes parents. Mon mari était responsable de notre vie familiale tandis que je travaillais à l’extérieur. Nous vivions en parfaite harmonie. Après la mort de mes parents, les salaires et la propriété étaient sous ma responsabilité et j’ai tenu les cordons de la bourse, ce qui m’a fait me sentir vraiment en sécurité. J’ai toujours eu le dernier mot à dire dans ma famille. Je me souviens qu’il y avait un temps où je jouais au mahjong ; j’ai perdu plus de 20 000 yuans après avoir joué pendant tout le long d’une semaine. Ma famille m’a encouragé à arrêter. Je leur ai dit : « J’ai gagné l’argent. Je peux l’utiliser comme je veux. Je vais faire ce que je veux. Cela ne vous regarde pas. » Face à mes mots, ma famille ne pouvait rien me dire. À ce moment-là j’ai pensé : « C’est mieux que je garde de l’argent en ma possession à tout moment, sinon je ne serais pas aussi libre de faire ce que je veux. »
Le rideau se lève sur la bataille pour la propriété de maison
Un jour, j’ai pris le livret de résidence juste à temps pour voir le certificat de propriété. Je l’ai ouvert et j’ai jeté un coup d’œil, seulement pour trouver que mon mari était le propriétaire. Je me suis frottée les yeux et je l’ai regardé encore et encore. Après avoir confirmé que le propriétaire était mon mari, j’étais un peu frustrée. J’ai pensé : « Comment la fortune héritée de mes parents pouvait-elle lui appartenir ? Est-ce possible qu’il ait changé le propriétaire du certificat de propriété sans mon avis ? » Plus j’y pensais, plus je devenais furieuse : « La propriété qui m’appartient est maintenant devenu celle de mon mari. La maison dans laquelle nous vivons, et la maison que mes parents m’ont laissée sont tous deux à son nom. Ainsi, je ne possède rien. » À cette pensée, je suis allée parler à mon mari par rapport à ce sujet. Qui aurait su qu’il était aussi perplexe. Il a dit d’une voix blessée qu’il n’y était pas au courant. Mais comment pouvais-je le croire ? Après une dispute, je suis sortie avec le certificat de propriété et le livret de résidence. Je pensais tout le long du chemin : « Qu’il l’admette ou non, ma plus haute priorité est de remplacer le nom. La maison est en fait la mienne. Que devrais-je faire si je la perds ? Personne ne sait ce qui va se passer dans l’avenir. Si je meurs plus tôt que lui, se remariera-t-il ? Va-t-il donner notre fortune aux étrangers ? » Plus je pensais, plus j’étais anxieuse. Je ne pouvais pas attendre, pour remettre la propriété en mon nom.
Dans les jours qui suivirent, je faisais le va et vient entre le commissariat de police, le Bureau de gestion de logement et le Bureau des terres. Je faisais des copies des documents, recueillais des preuves et donnais des certificats. J’ai aussi demandé des renseignements à des amis qui étaient familiers avec la loi sur l’héritage. J’ai aussi cherché des informations sur Internet. Pour changer le propriétaire, j’ai subi tant d’esquives et des manœuvres et je me cassais la tête sur ceci. Une fois je me suis plainte à ma fille à ce sujet. Cependant, elle m’a répondu calmement : « Mon père n’agira certainement pas ainsi. Il sait que tu es la propriétaire ; comment pourrait-il mal écrire le nom ? » D’ici là, je me suis souvenue que la communauté a une fois aidé tous les habitants à avoir les certificats de propriété. Il y avait une très grande chance qu’ils aient mis le mauvais nom. À ce moment-là, j’ai regretté que je puisse être injuste envers mon mari. Mais en y réfléchissant bien, même ainsi, je devais quand même corriger cela. Comme dit le dicton : « Il n’y a pas de meilleures choses que de canaliser tout dans nos propres poches. » Je ne pouvais me sentir rassuré que quand la maison était transférée en mon nom. Alors, après plus de dix jours, j’ai complété toutes les formalités. Puis soudainement, le Bureau de gestion du logement m’a laissé une réponse. Ils ont répondu que je devais attendre le traitement unifié. Je n’avais le choix que de rentrer à la maison. En rentrant à la maison, j’ai caché tous les certificats. Je voulais le retirer personnellement seulement après avoir reçu l’avis du Bureau de gestion de logement.
Une guerre froide est en spectacle
Dès lors, je ne voulais pas reconnaître mon mari à la maison. Il a aussi pris ses distances de moi. Il préparait autrefois le petit-déjeuner, mais maintenant il se reposait profondément tous les matins et préparait le repas du midi que quelques fois, donc je devais cuisiner moi-même. Quand nous étions nous deux seuls à la maison, nous n’avions presque rien à dire. Même si nous devions faire quelque chose, nous nous laisserions des messages à travers les enfants. Au début, je me justifiais et je ne voulais pas m’abaisser devant lui. Avec le temps, je ne voulais plus faire face à cette situation et puis j’ai commencé à m’y échapper. Après le travail, je jouais au mahjong avec mes amis et, souvent, je ne rentrais qu’à minuit. Mon mari non seulement fermais les yeux sur moi, mais lui aussi, ne retournait pas à la maison et parfois il revenait après une semaine. Le soir, je restais seule sur le canapé, et me sentais très misérable. En pensant comment notre relation ait pu atteindre ce point, j’étais tellement angoissée à l’intérieur. C’est ainsi que la guerre froide entre nous a continué pendant plus d’un mois. À ce moment-là, j’ai réalisé que la situation était assez grave. Puis j’ai commencé à lui parler de par ma propre initiative, mais il m’a encore traité avec une attitude froide. Un soir, il est rentré à la maison ivre. À son arrivée, il s’est plaint : « J’ai beaucoup sacrifié pour notre famille. Jamais je n’aurais cru que tu te disputerais avec moi au sujet du nom du propriétaire. Tu ne m’as jamais fait confiance. C’est mieux que nous nous séparions. » En entendant cela, mes yeux se remplirent de larmes. Je n’aurais jamais cru que nos relations se dégénéreraient à ce stade pour le nom du propriétaire. Mais en y réfléchissant encore une fois : « Cette maison est l’héritage de mes parents. C’est la plus raisonnable des choses que je devienne la propriétaire. Est-ce mal ? » C’était la première fois que nos sentiments l’un envers l’autre s’étaient effondrés, depuis plus de trente ans. J’étais tellement agonisée, ne sachant pas quoi faire.
Les paroles de Dieu règlent notre dispute
Par la suite, j’ai accepté l’œuvre de Dieu dans les derniers jours. Lors des réunions, j’ai exprimé ma difficulté aux frères et sœurs. Ils m’ont dit de lire les paroles de Dieu plus, et les paroles de Dieu peuvent résoudre toutes les difficultés et tous les problèmes. Dans les réunions, j’échangeais sur les paroles de Dieu et partageais des expériences avec mes frères et sœurs, et peu à peu, j’ai ressenti une grande libération dans mon cœur.
Un jour, j’ai vu les mots suivants qui m’ont attiré immédiatement. Le livre dit : « Quand on a des parents, on croit que ses parents sont tout ; quand on a une propriété, on pense que l’argent est son pilier, qu’il est son actif dans la vie ; quand les gens ont un statut, ils s’y accrochent fermement et ils risqueraient leur vie pour cela. Ce n’est que lorsque les gens sont sur le point de quitter ce monde qu’ils se rendent compte que les choses qu’ils ont poursuivies toute leur vie ne sont que des nuages qui passent, auxquels ils ne peuvent s’accrocher, qu’ils ne peuvent pas emporter avec eux, qui ne peuvent pas les exempter de la mort, qui ne peuvent pas accompagner ni consoler une âme solitaire sur son chemin du retour ; et encore moins, qui ne peuvent pas sauver quelqu’un ni lui permettre de transcender la mort. […] » (Extrait de « Dieu Lui-même, l’Unique III »)
Après avoir lu ces mots, j’ai réfléchi sur la majeure partie de ma vie : Bien que je possède la maison, l’argent et mes enfants, que puis-je emporter avec moi le jour de ma mort ? Quand mes parents, qui m’aimaient beaucoup, sont décédés, rien ne pouvait les retenir, peu importe combien d’argent ils possédaient. Pour tout ce que j’avais, à y penser, l’argent ne pouvait m’acheter la santé ou le bonheur, beaucoup moins une longue vie. Le jour de ma mort, je ne pourrais que partir avec mon corps nu et sans rien d’autre. À ce moment-là, j’ai réalisé que tout ce que je possédais était éphémère.
Je me suis aussi souvenue de la maison de mon oncle. Ils se disputaient avec leurs voisins continuellement à cause d’une bagatelle. Les deux familles étaient même devenues violentes. Par conséquent, ma belle-sœur était tellement furieuse qu’elle s’est évanouie sur place. Elle a été hospitalisée et diagnostiquée comme ayant une encéphalorrhagie. Après avoir sombré dans le coma pendant trois mois, elle s’est réveillée, mais elle a laissé des séquelles et elle ne pouvait pas parler clairement. Après cela, mon oncle a poursuivi son voisin devant les tribunaux. Au final, le voisin ne l’a payé que 2000 yuans comme compensation, ayant donné un pot-de-vin au juge. Par conséquent, mon oncle est décédé d’une dépression et de maladie après trois ans. En y réfléchissant-mon oncle s’est disputé avec les autres à cause de quelques gains et a finalement perdu la vie ; quant à moi, je me suis disputée avec mon mari pour le titre de propriété, et comme résultat, nous avons perdu confiance l’un envers l’autre et notre relation s’est détériorée. Je réfléchissais sur moi-même : « Même si je possède toutes les propriétés et l’argent, est-ce que je pourrais emmener une seule de ces choses avec moi quand je meurs ? Non ! Alors, à quoi bon combattre pour ces choses ? Pourquoi me torturer ? » À ce moment, les paroles de Dieu m’ont rendu philosophique. Je ne voulais pas me battre pour ces choses. J’abandonnerais le titre de propriété et vivrais selon les paroles de Dieu.
Plus tard, mon mari a eu des difficultés financières quand il s’est associé à ses amis en affaires. Il se faisait des soucis. Voyant qu’il était dans une angoisse intense, j’ai pris toutes mes économies de mon propre gré pour l’aider. Il était très surpris par mon action. Notre relation s’est progressivement améliorée par la suite.
Je ne combats plus pour la propriété
Peu de temps après, mon mari m’a dit : « La communauté nous a informé de retirer le certificat de propriété. Vas – y. » En entendant cela, j’étais très heureuse, pensant que finalement ce jour est arrivé. Aujourd’hui, je vais être propriétaire de ma maison. Mais quand je me suis empressée de prendre le certificat de propriété et le livret de résidence, j’ai pensé aux paroles d’un livre spirituel : « Ce n’est que lorsque les gens sont sur le point de quitter ce monde qu’ils se rendent compte que les choses qu’ils ont poursuivies toute leur vie ne sont que des nuages qui passent, auxquels ils ne peuvent s’accrocher, qu’ils ne peuvent pas emporter avec eux, [...] » (Extrait de « Dieu Lui-même, l’Unique III »)
L’éclairage de tels mots m’a réveillé en sursaut. J’ai fait une pause pour me demander : « Comment se fait-il que je fasse encore attention à ça ? Pourquoi est-ce que je me bats toujours pour ce bien matériel ? N’ai-je pas pris ma décision devant Dieu ? » Par la suite, je me suis calmée, je suis retournée dans ma chambre et j’ai lu un autre extrait d’un livre : “the most important thing is to look at a person’s nature from the perspective of his world view, view of life, and values. Those who are of the devil all live for themselves. Their way of life and guiding maxims are mainly those words that come from Satan like, “Everyone for himself and the devil take the hindmost.” The words of those fiends, great ones, and philosophers of the earth have become their life. … There are still many satanic poisons in people’s lives, in their doings, and in their conduct and dealings with others—they are almost without a shred of truth—for example, their life philosophies, their maxims for success, or their ways of doing things. Every person is filled with the poisons of the great red dragon, and they all come from Satan. So, what flows through people’s bones and blood are all things of Satan.”
De tels mots m’ont réveillé de mon sommeil. En songeant pourquoi je voulais transférer le titre de propriété en mon nom, c’était parce que je vivais selon les mauvaises règles de vie de Satan, tels que « Chacun pour soi et Dieu pour tous » et « L’argent fait tourner le manège. » Je pensais que l’argent et les maisons étaient la richesse de la survie et les piliers de la vie, alors je me suis accroché à eux pour la vie. Sous la domination de poisons sataniques, j’étais devenue égoïste et méprisable, et pensais seulement à mon propre intérêt et pensées au lieu des sentiments de mon mari. Par conséquent, je lui ai causé du tort et aussi nous étions séparés l’un de l’autre, perdant la confiance en chacun. C’est alors que j’ai réalisé que Satan m’avait fait tant de mal. Si je continuais à vivre par ces mauvaises règles de vie, j’aurais de moins en moins d’humanité et je ne pourrais pas vivre sainement avec ma famille. J’ai alors pris la décision de ne pas vivre selon ces choses insignifiantes et sans valeur. Je vivrais selon les paroles de Dieu et ne songerais pas aux affaires mondaines.
Ainsi, j’ai remis tous les certificats à mon mari et je lui ai dit : « Fais-le ! Je crois en Dieu. Je sais que ce sont des biens matériels. Ils n’ont aucun sens pour moi. Écris le nom que tu veux. » Il me regarda avec surprise, disant : « Tu n’en veux pas ? Est-ce que j’ai bien entendu ? Peux-tu vraiment mettre de côté ta source de vie ? » J’ai dit fermement : « Je te le dis. Ce sont les paroles de Dieu qui ont changé ma vision. Nous sommes une famille. Donc, ça m’est égal peu importe le nom qui est écrit dessus. » Il hocha la tête et fit l’éloge à plusieurs reprises : « Le Dieu en qui tu crois est si puissant qu’Il peut te changer. Cela n’a pas été facile ! » À ses mots, j’étais si reconnaissante envers Dieu. Ce sont les paroles de Dieu qui m’ont fait oublier ces choses et ne m’ont pas laissé m’enfoncer dans la douleur de la poursuite de l’argent.
En vivant par les paroles de Dieu, je me sens paisible et libérée
Par la suite, j’ai remis proactivement tous les biens à mon mari, tout ce que j’avais économisé pendant 30 ans, y compris l’épargne, les dépôts bancaires et l’assurance. De plus, je faisais la cuisine par initiative. Voyant de tels changements, mon mari m’a dit de façon surprenante : « Le Dieu en qui tu crois t’a vraiment changé. Tu n’es pas du tout la même qu’avant. Je suis tellement impressionné ! Laisse-moi lire les paroles de Dieu plus tard. » J’ai répondu avec une grande joie : « Certainement. » À partir de ce jour, nous lisions les paroles de Dieu et écoutions les récitations des paroles de Dieu ensemble tous les matins. Il préfère les vidéos des récitations des paroles de Dieu. Dès qu’il a regardé les vidéos, il a été très élogieux à leur sujet, disant : « Les paroles de Dieu sont vraiment bonnes ! Si tout le monde agit selon les paroles de Dieu, la famille n’aura pas de problèmes et il n’y aura pas de guerres dans le monde. »
De cette expérience, j’ai vraiment apprécié le fait que lorsque j’ai mis ces biens et l’argent de côté, je n’étais pas ignorée, mais plutôt respectée par ma famille. De plus, mon mari et moi nous nous faisons confiance encore plus. Maintenant j’ai réalisé que l’argent et la propriété ne peut pas assurer nos sentiments ou mon mariage, encore moins ma vie. Elles ne me sont pas primordiales. Seul Dieu est à la base de notre existence. Les paroles de Dieu sont notre guide de la vie. C’est seulement en agissant selon les paroles de Dieu que nous pouvons vivre une humanité normale. Ce sont les paroles de Dieu qui ont rendu ma famille harmonieuse et m’ont fait me sentir plus détendue et libérée ! Dieu merci !
Gloire à Dieu !
Source : L'Évangile de Dieu
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