Par Chen Si
Le regret d’un vétéran Yazi
Une fois, j’ai entendu une histoire d’un vétéran de Kuomintang Yazi des personnes âgées dans ma ville natale :
Yazi est né prématurément et n’était pas plus gros qu’un petit chat à sa naissance. Bien qu’il ait tété sa mère jusqu’à l’âge de six ans il était toujours maigre avec un teint jaunâtre. Sa mère lui caressait toujours la tête en disant : « Petit Yazi, grandira vite et deviendra aussi grand que le jujubier de notre cour. » Quand Yazi eut quatorze ans une guerre a éclaté près de son village. Sa mère était si anxieuse qu’elle fit l’impossible et a utilisé toutes ses relations pour lui éviter d’aller au front. Finalement Yari est devenu officier, et sa mère a dit : « Notre famille a toujours eu besoin d’un garçon pour continuer la ligne familiale. » A la fin de la guerre l’unité de Yazi s’est retiré à Taiwan. Avant de partir, Yazi a demandé à sa mère de na pas assister à son départ. Cependant, elle ne put s’empêcher d’aller au port. En voyant Yazi qui avait une tête de moins que les autres soldats, elle s’est précipitée pour l’embrasser. Yazi fût surpris et pensa qu’il ne pouvait accepter d’être embrassé par sa mère devant tous ses camarades alors qu’il portait un uniforme de soldat. Aussi, il a écarté sa mère et a dit impatiemment : « Rentre, je t’avais dit de ne pas venir ! » Ayant dit cela il a disparu sans un regard en arrière. Trois ans plus tard, sa mère est morte et son unique sœur a disparu dans les remous de la Révolution Culturelle improbable. Ainsi la famille a été complètement disloquée. Quarante ans plus tard, Yazi devenu vieux et seul vivait loin de chez lui. Un jour les vieux camarades de Yazi se sont rassemblés pour fêter son anniversaire. Ils lui avaient apporté un gâteau et lui ont demandé de faire un vœu. Yazi regardait les bougies étincelantes, les pleurs ruisselants sur ses joues. Il a dit : « Je m’ennuie de ma maman, ma mère me manque !». Ayant dit cela, il cacha sa tête dans ses mains et pleura amèrement. Ce jour-là, le cœur de ses camarades ayant été très affecté ils pleuraient très fort avec lui.
C’est trop tard pour aimer, pour se repentir, pour la rédemption de ses fautes, pour accomplir les promesses, pour envoyer des bénédictions, pour donner un dernier baiser avant le départ… En fait, l’histoire de vieux Yazi est pleine de regrets et c’est aussi vrai pour la plupart des gens. Nous pensons toujours que nous pourrons réparer les fautes que nous avons commises sans savoir que certaines fautes, une fois faites, sont irréparables.
Une simple réflexion sur la leçon et le chagrin des Juifs
Comme chacun sait, il y a deux mille ans, le Seigneur Jésus a commencé l’Age de la Grâce en répandant l’Évangile du royaume des cieux et faisant le travail de rédemption de l’humanité. A peine eut-il prononcé les mots que l’estropié pouvait marcher, le mort était ressuscité, le vent et les vagues sont devenus calmes etc. Il était capable d’accomplir toutes choses et possédait l’autorité et le pouvoir, juste comme le Créateur, qui a utilisé les mots pour créer le ciel et le terre et toutes choses. En plus , Il a amené l’homme les nouvelles façons de pratique en exprimant la vérité d’aimer votre voisin comme vous-même, d’aimer vos ennemis et d’être patient et miséricordieux. Bien que le Seigneur Jésus ait porté le chemin de la repentance au-delà du domaine de la loi, tous ceux qui croyaient vraiment en Dieu et attendaient l’arrivée du Messie tels que Pierre, Jean, Jacob et les autres disciples savaient d’après ce qu’Il avait dit et fait qu’Il était l’incarnation de Dieu, vif et vivant parmi le peuple avec Son identité de Christ. Ainsi ils L’ont suivi avec confiance. Au contraire, les Pharisiens et les prêtres du Judaïsme n’ont pas reconnus le Seigneur Jésus comme l’incarnation de Dieu, mais sont restés attachés aux mots de l’Ancien Testament pour s’opposer à Lui et Le condamner. Et les Juifs n’ont pas eu leurs propres vues et discernements et étaient donc terriblement déçus. Finalement, ils se sont rapprochés du gouvernement Romain pour clouer le Seigneur Jésus sur la croix. En aucune façon ils ne pouvaient recevoir le pardon du Seigneur Jésus alors qu’ils avaient commis le crime de blasphémer contre Dieu. Au sujet de la destruction de la nation Juive il y a presque deux mille ans, les générations nouvelles se sentent toujours déprimées et sont gagnés par une grande émotion.
Des gens disent que la meilleure façon de mémoriser l’histoire est de retenir ses leçons. Vraiment, la pénible leçon des Juifs est très importante pour accueillir le Seigneur une seconde fois lors des derniers jours. Le Seigneur Jésus a prophétisé : « Car, comme l’éclair resplendit et brille d’une extrémité du ciel à l’autre, ainsi sera le Fils de l’homme en son jour. Mais il faut auparavant qu’il souffre beaucoup, et qu’il soit rejeté par cette génération » (Luc 17:24-25). Le Seigneur a déclaré qu’Il devrait endurer les souffrances provoquées par le rejet du monde quand il reviendra lors des derniers jours. C’est-à-dire que le tragédie recommencera encore : les hommes des derniers jours condamneront et résisteront au retour du Seigneur. Peut-être de nombreuses personnes feront des vœux devant le Seigneur, promettant qu’ils retiendront la leçon des Pharisiens et ne seront jamais ceux qui le rejettent une seconde fois. Mais n’avez-vous jamais pensé s’il est suffisant de tirer des leçons d’après celles des Juifs simplement en étant témoin de la conséquence du mal qu’ils ont fait ? Et quelles sont les raisons de la résistance des Pharisiens au Seigneur Jésus ? À première vue, c’était parce qu’ils accordaient trop d’importance aux mots de l’Ancien Testament et à leurs propres conceptions et imaginations qu’ils ont refusé et condamné le Seigneur Jésus qui ne portait pas le nom de Messie. Mais en fait, ce n’était pas la raison principale. Leur motif véritable est raconté dans la Bible, « Alors les principaux sacrificateurs et les pharisiens assemblèrent le sanhédrin, et dirent: Que ferons-nous ? Car cet homme fait beaucoup de miracles. Si nous le laissons faire, tous croiront en lui, et les Romains viendront détruire et notre ville et notre nation » (Jean 11:47-48). On peut voir que les Pharisiens savaient parfaitement que le Seigneur Jésus exprimait la vérité et répandait des signes qui ne pouvaient être donnés par aucun homme. Cependant, comme de plus en plus de gens croyaient et suivaient le Seigneur Jésus, ils étaient effrayés à la pensée que le Judaïsme pourrait disparaître si tout le monde le suivait. Alors, ils ont perdu leurs statuts et gagne-pain . Ils ont rejoint le Gouvernement Romain pour supprimer le Seigneur Jésus afin de conserver leur rang et leur pouvoir. Ainsi, les raisons profondes pour lesquelles les Pharisiens ont résisté au Seigneur Jésus ne résultent pas simplement de la valeur accordée à leurs conceptions dans une période de grande confusion. En termes de calibre, de cadeaux et de connaissance de la Bible, beaucoup de personnes de ce temps ne pouvaient pas comparer avec eux. Ils savaient clairement que le Seigneur Jésus était Dieu mais ils ont tous maintenus une brutale opposition contre lui. N’ont-ils pas exposé leur nature satanique en haïssant Dieu et la vérité ? Le Seigneur Jésus les définis comme tels : « Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites ! parce que vous fermez aux hommes le royaume des cieux ; vous n’y entrez pas vous-mêmes, et vous n’y laissez pas entrer ceux qui veulent entrer » (Matthieu 23:13). « Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites ! parce que vous ressemblez à des sépulcres blanchis, qui paraissent beaux au dehors, et qui, au dedans, sont pleins d’ossements de morts et de toute espèce d’impuretés » (Matthieu 23:27 ).
Prenons l’histoire comme un miroir ; Comment accueillir le retour du Seigneur
Dans les derniers jours, si le retour du Seigneur Jésus n’est pas en conformité avec notre façon de penser et nos intérêts matériels, un pasteur, un ancien ou un simple croyant dans une église, résisterons-nous à Dieu pour sauver notre rang, notre pouvoir, argent et renommée comme firent les Juifs et les Pharisiens ? Si pour nous, il est difficile de choisir entre la vérité et les biens matériels, alors ne sera-t-il pas facile de répéter l’erreur des Pharisiens ? Ce serait vraiment une grande bénédiction d’être nés pendant les derniers jours et ainsi avoir la chance d’accueillir le retour du Seigneur ! Mais si nous ne sommes pas capables de comprendre clairement les racines de la résistance des Juifs à Dieu et faisons attention tout le temps, nous pouvons commettre la même faute qu’eux et rater la bénédiction de Dieu. Alors, nous regretterions amèrement. Dans la vie, si nous ratons l’examen d’entrée dans un collège, nous pouvons refaire une année supplémentaire et le recommencer. Mais, dans les derniers jours, nous aurons une seule chance pour rencontrer la bénédiction de Dieu. Il est dit dans Apocalypse 1:7 : « Voici, il vient avec les nuées. Et tout oeil le verra, même ceux qui l’ont percé ; et toutes les tribus de la terre se lamenteront à cause de lui. Oui. Amen ! » Dieu viendra pendant les derniers jours pour prendre ceux qui ont suivi les pas de l’Agneau dans le royaume des cieux. Après cela, Il enverra de grandes catastrophes pour récompenser les bons et punir les méchants et détruire le vieux monde. Par conséquent, le travail de Dieu dans les derniers jours ne durera pas longtemps. Avant que les grandes catastrophes arrivent si nous ne pouvons pas chercher activement le chemin de Dieu et suivre Ses pas, quand Dieu jugera publiquement les nations et les peuples, alors il sera trop tard pour regretter et pleurer, il n’y aura aucun chemin pour se racheter.
Source : L’Évangile de Dieu
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